il y a dans mes yeux,un long chemin de brume
un labyrinthe de souffrances qui se trace dans un miroir laissant défiler mes éspérances
le vent emporte avec son orgueil,mon sourire et mon innocence
le sang a trop souvent sali la terre,
que le sol mourant n'enfante que les épines de nos complaintes.
nos cris se perdent dans le silence de la nuit...je t'aime mélancolie!
et derriére cette immense porte noire,
y a t-il le poid des souvenirs qui se démontent ou une nouvelle esquisse de mes utopies désespérées?
en parcouru vos songes enchantés,j'ai perdu la nostalgie des jours heureux...
car il y avait dans mes yeux,un long et périlleux chemin de brume qui se reflétait dans un miroir brisé par les rayons de ma conscience